CINÉMA
Pour le plaisir d’une comédie italienne, pour le plaisir de Verdi, la Force du Destin et pour ce comédien, Toni Servillo, que j’avais bien aimé dans la Grande Bellezza, pour Valeria Bruni-Tedeschi.
Cocasse, grinçant? Le discours politique est vide, remplaçons le par la poésie. Le leader d’un grand parti n’a rien à proposer – qu’il parte en vacances. Pascal a parié l’existence de Dieu avec les probabilités, le Parti parie sur un fou. Jeu de doubles, politique de duplicité?
Toni,Servillo se promène avec un air absent ou inspiré c’est selon.

J’ai très envie d’aller le voir.
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