LIRE POUR LA TUNISIE
Joli petit livre; couverture réussie (et solide), un bel objet de cette collection Elyzad.
Lecture agréable.
l’Odeur du Henné fait référence au mariage tunisien.Le mariage, but de la vie d’une jeune fille, destin de toute femme.
Kenza est libre, médecin à l’hôpital, cultivée, fille chérie de son père l’instituteur progressiste qui, lui a ouvert sa bibliothèque et favorisé ses études. Kenza a refusé tous ses prétendants jusqu’à ce que Sami, ami de ses frères, séduisant homme d’affaires, la demande en mariage.
Kenza ne peut refuser, même son père, ne le comprendrait pas.
Elle trouve une échappatoire, une formation dans un laboratoire de Recherche à Paris. Le père lui ferme sa bibliothèque .
Curieusement, c’est Sami, le fiancé, qui lui permettra ce voyage.
Je ne vais pas vous raconter la fin…
Racontée en courts chapitres, l’histoire de Kenza s’enrichit de nombreux portraits ou histoires de femmes, de Khadidja, la montagnarde, de petites mariées, de divorcées….vie au village ou dans la ville moderne.
L’histoire se joue aussi à Paris. Décalages, différences, rencontres avec des Européens mais aussi avec des étudiantes arabes.


c’est vrai que la couverture est très réussie!
bonne journée!
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Je me suis fiat faire les pieds et les mains au henné, une fois, c’était long…mais intéressant.
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@keisha : quelle patience, les henné et les tresses africaines, impossible pour moi qui ai la bougeotte!
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Mes cheveux sont colorés au henné. Une fois par mois, je me couvre donc la tête d’une pâte vert foncé peu appétissante, mais après, non seulement les cheveux flamboient, mais en plus ils sentent bon ! Car l’odeur du henné est un délice.
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@nathalie : tu as bien de la chance si tu n’as pas encore de cheveux blancs! je faisais des hénnés quand j’étais plus jeune mais après cela donne des fils carottes déplaisants
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J’ai déjà tenté l’expérience de l’hénné sur les mains, c’est vrai que ça demande beaucoup de patience, mais après la patience se paie par la splendeur des figures!
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