TOILES NOMADES
Emprunté à la médiathèque parce que je voulais entendre du Russe. Pas de chance c’est en ukrainien! De plus, il se déroule dans le pays houtsoule, dans les Carpates, plus proche de la Roumanie que des steppes de l’Asie Centrale que je m’apprête à visiter.
Depuis longtemps, j’avais envie de visionner ce chef d’oeuvre. A Erevan, un musée est consacré à Paradjanov, cinéaste arménien. N’ayant vu aucun de ses films, nous avions négligé cette visite et maintenant, je le regrette.
L’histoire, version de Roméo et Juliette, ne m’a pas spécialement captivée. En revanche, les images m’ont bluffée. Certains cadrages, très recherchés, sont stupéfiants. Bois, eau, terre, mousse sont photographiés de façon merveilleuse. on aimerait s’attacher encore plus longtemps à chaque image.
Pour autant ce n’est pas un film statique, au contraire, on est entraîné dans les fêtes villageoises, dans les rondes des masques au creux de l’hiver, dans les courses effrénées dans la montagne. Le montage se fait au rythme de la course de ces chevaux de feu.
Film ethnographique, sur les costumes colorés de ces paysans houtsoules, de leurs cérémonies, mariage, funérailles, fenaison. Peut-être? Sorcellerie aussi.
Ce film est d’une grande richesse.
Lire aussi ICI les critique des Inrock




Voilà qui ne nous rajeunit pas ! c’est un film que je n’ai pas vu.
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pas vu non plus!
mais à l’occasion, pourquoi pas!
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@Aifelle et Eimelle : j’aime bien ressortir d’ancien films, celui-là vaut vraiment la peine
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Les chevaux de feu, pourquoi? C’est une légende? Cela me rappelle le roman que j’ai adore : Les noirs chevaux des Carpates.
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@claudialucia : j’ai aussi beaucoup aimé les Noirs chevaux des carpathes! as tu regardé l’extrait en video? il répond à ta question
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