C’est Siwa, l’oasis mystérieuse, l’oasis de l’Oracle d’Ammon, où se rendit Alexandre….C’est par cette visite d’Alexandre, fils de dieu que s’ouvre cette célébration de l’oasis.
Célébration poétique plutôt que récit de voyage, d’une oasis rêvée où l’auteur situa un roman sans pouvoir la visiter alors qu’elle était interdite aux étrangers.
Célébration d’une osais présentée comme une île préservée, farouche, qui se refusa longtemps aux visiteurs. Récit des expéditions des aventuriers du début du 19ème siècle qui, même sous le déguisement furent démasqués et chassés.
Célébration de l’amitié, de l’innocence de la rencontre avec les enfants de l’oasis…
Déploration de l’arrivée de la modernité, de la télévision, de la route en goudron qui amènera les touristes et emportera les oasiens vers la grande ville.
Mieux qu’un guide, un très joli livre qui fait rêver.
