Lundi, c’est marché à Foiano


Laissant la voiture au pied des remparts, nous entrons dans la ville ancienne par des marches menant à une belle arche de brique. Dans toute la ville : briques, marches et ruelles. Le  marché s’est installé partout où c’est possible. Il occupe toutes les places et les rues les plus larges. Comme souvent à la campagne, les marchands de vêtements sont plus nombreux que les étals d’alimentation. Le camion de porchetta qui stationne près de chez nous le soir est là avec deux poissonniers et seulement trois marchands de légumes. La ville est très animée. Les hommes sont assis sur des chaises à l’extérieur des cafés.
Après un tour dans les petites rues, nous achetons abricots, oranges, haricots et un melon avec la désagréable impression qu’on nous a appliqué le tarif « touriste ».
Pour sortir de Foiano, c’est toute une histoire. Si le centre historique est tout petit, nous ne nous étions pas rendu compte que le bourg moderne est très étendu avec des lotissements, des usines, des entrepôts. Deux autoroutes à proximité ne facilitent pas l’orientation.

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Auteur : Miriam Panigel

professeur, voyageuse, blogueuse, et bien sûr grande lectrice

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