POLAR ISLANDAIS
Faire un tour à Reykjavik en ces temps de confinement où tout projet de voyage se trouve exclus? ADN ne vous fournira que peu de dépaysement. L’action se situe à l’intérieur d’appartements sans intérêt particulier et non localisé dans la ville ou ses environs, ou dans un poste de police non identifié, dans une Maison d’Enfants impersonnelle.
Faire la connaissance avec de nouveaux enquêteurs? Le 4ème de couverture parle d’une psychologue mais son rôle n’est pas principal. L’enquêteur est un policier Haldur, bien classique…
L’intrigue est embrouillée à souhait, les crimes tout à fait horribles. Les armes du crimes sont la principale originalité du roman : le tueur a utilisé un aspirateur, un fer à friser et un fer à souder pour chacun de ses crimes. Pour égarer le lecteur il y a un club de cibistes, j’ignorais qu’au temps d’Internet, d’Instagramm et Face-Book les radios-amateurs existaient encore.
J’ai lu rapidement ce livre, les pages se tournent seules, avec la même culpabilité que j’éprouve quand je regarde les séries policières à la télévision. Impression que je pourrais employer mon temps à lire quelque chose de plus intelligent, et en même temps, j’ai bien le droit de me divertir dans la facilité!
La prochaine lecture islandaise se fera plutôt avec Arnaldur dont il me reste de nombreux livres à découvrir!
on a plus que jamais besoin de livres qui font voyager!
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@eimelle : justement celui-ci ne fait guère voyager! je pars ce soir au Caire avec Mahfouz, dépaysement garanti!
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