Exposition temporaire jusqu’au 10 novembre 2024

C’est une installation d’art contemporain que nous offre l’artiste franco-gabonaise s’inspirant des rituels de deuil des pleureuses punu. Elle met en scène un
« récit de larmes expérimenté lors du décès de mon père à travers les rites d’accompagnement au mort par les pleureuses »
Art total puisque Myriam Minhidou associe la musique à ses sculpture. Comme un long serpent ondulant, une sculpture végétale émet une mélodie vibratoire quand on la caresse. Le visiteur se déplace donc dans une ambiance sonore qu’il crée en intervenant sur la sculpture.

Autre référence musicale : les harpes sacrées conservées dans la tour des instruments du Musée du quai Branly. Elle a transposé la peau de ces harpes en céramique.

- Larmes de sel cristallisé et gravées, mémoire des larmes, invitation à la méditation

Et bien, pas très gai tout ça. Et ça ne me parait pas très expressif, mais à défaut, est-ce beau ?
Je ne suis pas très fan en fait. A + !
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@philfff pas gai mais envoûtant
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Oui, à voir comme ça, juste en photo, ce n’est pas vraiment convaincant mais ce doit être intéressant culturellement. La musique qui accompagne quand le visiteur intervient, je trouve que c’est une belle idée. D’habitude l’on ne peut toucher l’oeuvre d’art.
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@claudialucia : ce côté tactile et musical m’a envoûté. Évidemment les photos ne rendent rien. J’aime bien le sel comme matériau.
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