Exposition temporaire jusqu’au 5 janvier 2025

Myriam Minhidou est une plasticienne franco-gabonaise que j’ai découverte récemment au Musée du Quai Branly CLIC . J’avais été impressionnée par l’exposition Ilimb l’essence du deuil : le « serpent » musical qui réagissait au passage du visiteur, les larmes de sel sculptées, les instruments traditionnels m’avaient parlé.

J’étais donc impatiente de voir plus d’œuvres dans les grandes salles du Palais de Tokyo. J’ai été désarçonnée par la diversité de la présentation.
Objets, rituels, présence du corps de l’âme et de la mémoire dans notre relation au monde sans cesse déséquilibrée
peut-on lire sur la feuille de présentation.

Je suis perdue dans des notions étranges comme la « Transsudation » ou les « mondes subtils » ou « Dechoukaj »
les vidéos m’ont mise très mal-à-l’aise Folie et La robe envolée
Je suis ressortie avec un sentiment très mitigé, avec l’impression d’avoir raté cette rencontre.
C’était l’expo chambouletout 😉
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@remimage : on peut voir cela comme cela
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Je crois que je ne suis jamais allée au Palais de Tokyo. Ce n’est pas avec cette expo là que je vais commencer ; je pense que je serais aussi déroutée que toi.
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@Aifelle : c’est l’occasion de le découvrir pour la grande fresque de Malala Andrialavidarzana et Tituba et surtout Barbara Chase Ribou. Myriam Minhidou tu peux faire l’impasse et à la place voir les deux autres que j’ai negligees
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Je pense que je serais passée à côté moi aussi
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@je lis je blogue : pourtant l’exposition au Quai Branly m’avait touchée. Elle était plus cohérente.
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Dubitatif pour le coup.
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