POLAR ISRAELIEN
J’ai retrouvé avec plaisir Avraham au commissariat de Holon. J’avais apprécié Les Doutes d’Avraham non pour l’intrigue trépidante, en fait pas trépidante du tout, mais pour le policier consciencieux et très humain.
Dans La Violence en embuscade pas de course poursuite ni de découvertes sanglantes ou gore. Tout est caché. Une disparition inquiétante. Une machine infernale (bombe dans une valise) est placée aux abords d’une crèche. C’est un jouet – pas de risque d’explosion. La violence peut elle survenir dans un jardin d’enfants?
L’enquête commence la veille de Rosh Hashana, se déroulera pendant Kippour. Les fêtes ralentissent le travail…Réunions de familles, familles dysfonctionnelles.
Avraham a plutôt raté sa dernière affaire. Il a des doutes (encore). Ce drame le poursuit et le pousse à être encore plus rigoureux…
Résumé comme cela, on ne devinerait pas un polar addictif, et pourtant les pages se tournent toutes seules.
J’en ai lu deux ou trois, tu as raison, ça se lit bien, il y a une atmosphère
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Je l’ai lu et j’ai aimé (je n’ai pas fait de billet). Je compte continuer la série.
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pas trop polar mais un auteur israélien pourquoi pas ?
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@luocine : si tu n’aimes pas les polars et que tu veux connaître cet auteur je te recommande Au ras du sol Journal d’un écrivain en temps de guerre et Une deux trois
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