Exposition temporaire jusqu’au 5 janvier 2025

Myriam Minhidou est une plasticienne franco-gabonaise que j’ai découverte récemment au Musée du Quai Branly CLIC . J’avais été impressionnée par l’exposition Ilimb l’essence du deuil : le « serpent » musical qui réagissait au passage du visiteur, les larmes de sel sculptées, les instruments traditionnels m’avaient parlé.

J’étais donc impatiente de voir plus d’œuvres dans les grandes salles du Palais de Tokyo. J’ai été désarçonnée par la diversité de la présentation.
Objets, rituels, présence du corps de l’âme et de la mémoire dans notre relation au monde sans cesse déséquilibrée
peut-on lire sur la feuille de présentation.

Je suis perdue dans des notions étranges comme la « Transsudation » ou les « mondes subtils » ou « Dechoukaj »
les vidéos m’ont mise très mal-à-l’aise Folie et La robe envolée
Je suis ressortie avec un sentiment très mitigé, avec l’impression d’avoir raté cette rencontre.



