Mykonos en fin d’après midi

tinos-2010-mp-051-copie.1289661417.JPG mykonos : carte postale

Lorsque nous atteignons le petit port de pêche où se trouvent les agences de voyage, il est déjà16h40. Nous n’avons plus le temps d’attraper le bateau de 17h au Nouveau Port. Il nous reste celui de 20h30 avec trois heures à tuer à Mykonos.

Nous profitons du cadre exceptionnel. Je n’attendais rien de Mykonos, station chic et chère. Les repères de la jet-set ne sont pas ma tasse de thé. Pourtant, Mykonos, au printemps, sans la foule, sans les stars a su nous charmer à notre insu, un peu à la manière d’une de ces belles femmes des magazines qui se révèlent intelligentes et de caractère alors qu’on les croit  de ravissantes idiotes.

Retour en catamaran

 

Le soir tombe, il fait très frais, même avec le coupe-vent. Le ciel rosit. Le soleil se couche sur le nouveau port. Notre navire arrive en avance : c’est le Highspeed 1 énorme catamaran qui libère de sa cale de nombreuses voitures. A bord, on se croirait sur un paquebot, boiseries vernie, cuivres, moquette épaisse et boutiques de luxe. Le Seajet2 de ce matin faisait plutôt penser à un avion. En revanche, on ne voit pas la mer. Il faudra attendre l’annonce au micro pour se préparer à descendre.

L’arrivée à Tinos illuminée est une vraie fête. La Panaghia brille en haut de sa colline. Mais le Highspeed accoste au Nouveau Port à Tinos aussi, il faudra marcher un bon kilomètre dans le noir.

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Auteur : Miriam Panigel

professeur, voyageuse, blogueuse, et bien sûr grande lectrice

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