Chios : les moulins

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Au nord de la ville, se trouve le port de commerce. La mer est bordée d’anciens entrepôts. Les moulins à vent apportaient  autrefois l’énergie destinée à cette zone industrielle.

Les moulins portent toujours les grandes perches et les gréements même si on ne les voile plus. La maçonnerie et les fenêtres sont en très bon état. Ils ont belle allure!

Un café a installé ses tables bleues juste en face. Nous commandons café et ouzo habituels et je dessine les moulins à mon aise.

Le retour est un peu plus difficile. Dans un quartier piétonnier, les rues commerçantes  font penser à un bazar turc. Un policier municipal  délivre la voiture en enlevant une barrière très aimablement.

Déjeuner de midi dans le jardin à l’ombre : salade grecque de ma façon et les souvlakis d’hier, froids. Sieste de 15 à 16 heures dans la pénombre de notre chambre bien fraîche.

La plage

Le propriétaire nous a recommandé la plage de Megas Limionas distante de 2km. Elle n’est pas facile à trouver. La campagne est divisée par de longs murs. Aucune route n’est droite. On aboutit à des culs de sac ou à la cour d’une maison. Première plage au bout du chemin : galets et un arbre. Devant une maison, on a pratiqué un petit port rectangulaire ou  une piscine en enlevant les cailloux et en cassant les gros rochers. Ailleurs l’eau attend à peine les genoux même en s’éloignant. Il faut tenir en équilibre précaire sur les rochers glissant ou essayer de nager avec précaution pour ne pas se racler les cuisses sur les oursins. Le snorkelling est joli : poissons et coraux, rares coquillages. Je me lasse assez vite de peur de me blesser.

Un peu plus loin, la plage officielle de Megas Limionas : sable et eau plus profonde. C’est moins dangereux mais moins amusant. S’il y a du monde sur le sable sec, dans l’eau je suis seule.

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Auteur : Miriam Panigel

professeur, voyageuse, blogueuse, et bien sûr grande lectrice

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