Bucovine : Arrivée à Moldovita

un mois autour de la Roumanie en logan chez l’habitant

la maison de Viorica

 

La route très large, très fréquentée, est pleine d’énormes camions. D’où viennent-ils ? Où vont-ils ? Je croyais que la Bucovine était le bout de l’Europe coincée entre l’Ukraine et la Moldavie.

Journée de canicule, il fait plus de 35°. Le soleil écrase tout.  Nous sommes abruties de chaleur quand nous arrivons à notre nouveau gite de Moldovita.

La maison crépie de blanc est au fond d’un petit jardin entouré de barrière de bois à clairvoie, les fenêtres se distribuent symétriquement. Le  cerisier porte encore quelques cerises. Une allée mène au perron, séparant le potager du jardin à fleur. Les ombelles jaunes aériennes de l’aneth dépassent du carré de carottes. Les oignons sont en fleur, les salades ont monté. De l’autre côté, les soucis ont bien chaud tandis que les roses trémières résistent.

A l’arrière la maison est recouverte de bardeaux de bois. Dans une petite maison de bois Viorica a sa cuisine. Le gîte est plus modeste et plus petit que les autres mais notre hôtesse est très accueillante et parle très bien français. Petite surprise : je peux me servir de son ordinateur  sur le pallier devant notre chambre. Au lieu de sortir dans la chaleur j’entreprends le nettoyage de ma boîte à lettres électronique.

 

La route très large, très fréquentée, est pleine d’énormes camions. D’où viennent-ils ? Où vont-ils ? Je croyais que la Bucovine était le bout de l’Europe coincée entre l’Ukraine et la Moldavie.

Journée de canicule, il fait plus de 35°. Le soleil écrase tout.  Nous sommes abruties de chaleur quand nous arrivons à notre nouveau gite de Moldovita.

La maison crépie de blanc est au fond d’un petit jardin entouré de barrière de bois à clair-voie, les fenêtres se distribuent symétriquement. Le  cerisier porte encore quelques cerises. Une allée mène au perron, séparant le potager du jardin à fleur. Les ombelles jaunes aériennes de l’aneth dépassent du carré de carottes. Les oignons sont en fleur, les salades ont monté. De l’autre côté, les soucis ont bien chaud tandis que les roses trémières résistent.

A l’arrière la maison est recouverte de bardeaux de bois. Dans une petite maison de bois Viorica a sa cuisine. Le gîte est plus modeste et plus petit que les autres mais notre hôtesse est très accueillante et parle très bien français. Petite surprise : je peux me servir de son ordinateur  sur le pallier devant notre chambre. Au lieu de sortir dans la chaleur j’entreprends le nettoyage de ma boîte à lettres électronique.

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Auteur : Miriam Panigel

professeur, voyageuse, blogueuse, et bien sûr grande lectrice

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