Un mois en Roumanie en Logan chez l’habitant

La route vers Odorhieu Secuiesc franchit des collines verdoyantes. Au creux d’un vallon, un chapelet d’étangs : l’un est une réserve ornithologique, le suivant organisé pour la pêche. Nous remarquons les portails ciselés de plus en plus nombreux et les inscriptions en Hongrois. Les petites églises blanches avec les maisons blotties forment des taches rapprochées dans les vallées. On peut voir ensemble trois ou quatre églises à la fois.
Odorhieu Secuiesc est une ville moyenne hongroise. Nous y trouvons un supermarché CBA comme à Budapest où nous achetons des salamis au paprika, de la crème aigre, et des yaourts. Les vins proviennent de Hongrie et les prix sont élevés. D retrouve les sablés à la confiture qu’on achetait à Budapest. En revanche à la caisse, à part le « kösönem » automatique, la caissière n’est guère aimable. Dans la rue les incompréhensions linguistiques recommencent. Ici : Hongrois première langue, roumain deuxième langue personne ne fait l’effort de nous écouter, ni en anglais, ni en allemand encore moins en français !
Bonjour !
je pars en juin prochain en Roumanie, je vais dans le village de mon père rencontrer
la famille de mon père , ils habitent Jimbor .
je ne connais personne, j’ai découvert cette année l’histoire de mon père et de sa famille
je ne parle pas la langue, notre échange se fait via Google traduction
ils parlent hongrois et roumain
je pense descendre dans un hotel à Rupéa la patronne parle français
et je vais louer une voiture à l’aéroport
comment faire pour trouver un traducteur ou m’adresser
merci
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