LE MOIS ITALIEN
Une belle découverte : écriture limpide. Évocation solaire.
« Car si on veut garder quelqu’un vraiment à l’écart du reste du monde, il n’y a pas de mur plus haut que la mer. »
Le sujet est sombre : la condition carcérale et le terrorisme des années de plomb. Dans cette prison de haute sécurité sont enfermés non seulement des terroristes mais aussi toutes catégories de condamnés violents. le jeune gardien de prison est contaminé par cette violence au point que sa femme ne le reconnait plus.
« Était-il possible que ls visiteurs d’une prison spéciale soient accueillis par la beauté dde la nature? »
Paolo et Luisa viennent visiter la prison, lui son fils, elle, son mari. Loyauté sans concession. Paolo conserve dans son portefeuille le portrait de la fille de la victime assassiné par son fils. Luisa ne regrette pas sa vie conjugale marquée de violence.
Prison sur une île, Alcatraz italien, j’ai reconnu l’Asinara . Parfums de la terre, mer changeante sous les vents violents.
Et en plus, un amour de haute mer éclôt :
« Un amour qui, tel un bateau de haute mer, est seulement entouré d’une étendue infinie de caps possibles que pourtant, on le sait déjà, ni les circonsgtances ni le temps ne permettront d’explorer »
Un livre que j’aurais dû emporter lors de notre voyage en Sardaigne…
carnets de voyage et notes de lectures de miriam 
une des belles découvertes de ce mois!
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Oui, un très beau livre. Je reconnais sur cette photo le nord de la Sardaigne où nous avons passé deux beaux étés. J’ai pensé moi aussi à l’Asinara en lisant ce livre.
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J’ai l’intention de le lire et il va arriver à la bibliothèque ..
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un des tout bons romans de l’année
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