Nos cœurs invincibles – Correspondance entre une étudiante à Gaza et une étudiante en Israël

APRES LE 7 OCTOBRE 

Présentation de l’éditeur :

De mars 2024 jusqu’à aujourd’hui, au milieu des tirs de roquettes, du chaos de la guerre et de la mort de leurs proches, elles se parlent de leur quotidien, de leurs études de droit; de leurs peurs, mais aussi de leurs livres préférés, de leurs rêves, de leurs projets d’avenir.

Cette correspondance inédite proposée par Dimitri Krier, journaliste au Nouvel Obs n’est pas seulement un document exceptionnel sur la vie de ces deux étudiantes,: elle ouvre un dialogue entre Gaza et Israël, entre deux jeunes femmes, entre deux « coeurs invincibles » qui ont préféré les mots aux armes pour résister

Après une longue préface de Dimitri Krier justifiant son initiative, la conversation épistolaire entre Tala et Michelle raconte le quotidien des deux jeunes filles. Le journaliste pointe l’impossibilité de raconter ce qui se passe à Gaza. Les journalistes étant empêchés de faire leur travail, cet échange de lettre apporte un regard décalé par rapport aux images de la télévision.

Certes, ces jeunes filles ne sont peut être pas représentatives des populations respectives. Michelle « a grandi dans le camp de la paix » et a fréquenté la seule école « mixte » où enfants juifs et palestiniens s étudient ensemble. Tala travaille avec une ONG pour faire du soutien scolaire et psychologique auprès des enfants déplacés. Tout ce qui peut encourager le dialogue est  bon à prendre! Il faut toujours encourager ces initiatives.

Se souvenir malgré toutes les atrocités, des êtres humains sont face à face. Mettre des visages, donner des voix. Rappelons l’orchestre de Daniel Bareboim West-Eastern Divan Orchestra. Aussi l’histoire vraie racontée dans le roman Apeirogon. 

 

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Auteur : Miriam Panigel

professeur, voyageuse, blogueuse, et bien sûr grande lectrice

5 réflexions sur « Nos cœurs invincibles – Correspondance entre une étudiante à Gaza et une étudiante en Israël »

  1. Tu as raison, toutes les bonnes volontés sont bonnes à prendre, en espérant qu’il y en aura de plus en plus. Bravo à ces deux jeunes filles.

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