LIRE POUR L’ITALIE

Roman policier, puisque un policier, le commissaire Maurizi mène l’enquête sur la disparition de Laura, la femme d’un écrivain célèbre. Enquête discrète pour éviter un scandale. Par ailleurs, le bien-fondé de cette enquête n’est pas évident : pas de cadavre, seule la voiture vide est retrouvée au bas d’un pont, le sac à Venise. La disparue a peut être organisé sa fuite sciemment.


Faute d’indices, Maurizi fait plutôt une enquête de personnalité. Il lit des lettres, interroge les anciens amis et amants. Laura est une femme complexe. Alors que les hommes qu’elle a fréquentés ont une opinion plutôt négative, son professeur d’Histoire de l’Art voit en elle un esprit très fin, et une grande intelligence. Égoïste et allumeuse?

Et comme nous sommes en Italie, un circuit artistique s’organise autour du thème Noli me tangere qui a inspiré de nombreux peintres et qui est le sujet de la thèse de Laura. Pour mon plus grand plaisir!
J’ai bien aimé ce roman fin et léger, mais je préfère toujours les romans siciliens de Camilleri qui me font rire.

Je n’ai toujours pas abordé cet auteur, il y en a tant dans la catégorie polars !
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Beaucoup lu il y a quelques années c’est un auteur que j’aime bien
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