La rue Zamboni nous conduit aux deux tours.
Deux tours Garisenda (47m) et Asinelli (97m) datent de l’époque des guerres entre Guelfes et Gibelins. Tours de prestiges comme nous en avons vues à San Gimigiano en Toscane. Mais elles semblent différentes dans une grande ville ! La plus petite penche.
La plus haute (498 marches) est ouverte au public. Elle est complètement creuse. On se demande bien comment elle tient. Des trous montrent les charpentes au cours de leur édification mais il n’y a plus rien pour tenir. L’escalier de bois a des marches glissantes et très étroites. Heureusement deux rampes permettent de se soutenir aussi bien à la montée qu’à la descente. Montants et descendants se croisent sur de petits paliers ménagés à cet effet, on se fait des politesses, histoire de souffler un peu. La vue au sommet est magnifique. Je reconnais les principaux monuments et églises que nous avons déjà vus. La descente est à peine plus facile que la montée. J’ai peur de glisser, je ralentis l’allure en me cramponnant aux rampes.
Merci beaucoup pour l’image et le texte sur les tours. J’ai vu un reportage au TV , mais seulement les dernieres 3 minutes ou ils ont presente toute la region vue du haut…mais si je me souviens bien, a l’ex URSS(Georgia) on y trouve aussi des tours qui appartient aux certaines familles depuis des siecles, mais ces tours n’ont pas la meme hauteur qu’en Italie, a Bologne.
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je n’ai pas eu le courage de monter! Mais la vue vaut le coup!
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@eimelle : nous sommes restées plusieurs jours à Bologne, nous avions le temps! Et j’aime bien grimper, c’est une sorte de défi
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