La première partie retrace l’enfance calabraise du castrat. Les détails de la vie quotidienne des pauvres paysans du sud m’ont captivée.
Dans la partie napolitaine, j’ ai retrouvé le décor visité quelques semaines auparavant. Rencontre avec un Mozart inattendu… théories baroques sur la valeur intrinsèque de l’interprétation des castrats . Rencontre avec un prince de Sansevero étonnant !
Encore une fois, Fernandez nous prend par la main dans les visites de l’Italie. C’est à lui que je dois le rendez vous attendu avec le Caravage à Naples