TOILES NOMADES
Ce n’est pas la Venise des Palais, ni celle des gondoles, des marbres…c’est celle des pêcheurs, des barques et des filets, du casone où l’on range les nasses et où l’on fait griller le poisson.
D’ailleurs, ce n’est pas Venise mais Chioggia qui a aussi ses ponts vénitiens, ses quais, sa lagune. On ne croise pas de masques de carnaval, mais des lanternes de papier qui flottent, en l’honneur du Poète chinois. On y croise des gens simples, des migrants chinois, des pêcheurs à la retraite qui viennent passer la soirée au bar, boire la grappa, le caffe corretto, ou le ballon de blanc ou de rouge. Sauf que la serveuse est chinoise. Et que de ces gens-là on se méfie…on parle, on médit. Pas Bepi, le poète qui rimaille en Italien, mais qui boit sa prune, en Yougoslave qu’il était.
Une histoire d’amour s’ébauche…simple, émouvante.
Une autre Venise en effet, la lagune, ses pêcheurs, ses lumières.. merci pour cette bande annonce!
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La lumière, certes, j’avais oublié de la mentionner!
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sur le blog de Ritournelle, aussi :
http://ritournelle.over-blog.com/article-la-petite-venise-107089267.html
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Encore merci pour le lien! Cela enrichit les blogs
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Bonjour Miriam, joli billet pour un film qui vaut le déplacement. Ce genre de film et d’histoire font du bien. Merci et bonne journée.
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