LIRE POUR LA SARDAIGNE (NUORO)
Marcello FOIS – Nel tempo di mezzo
Lu sur ma liseuse en VO. Je suis très fière d’avoir été capable de suivre le fil de l’histoire mais la faiblesse de mon niveau en Italien ne me permet pas de faire une « critique littéraire ».
Lu en Sardaigne.
12-17 octobre 1943 – raconte l’arrivée de Vincenzo Chironi en Sardaigne. Orphelin, élevé à Trieste, il va à la recherche de la famille de son père à Nuoro. Il marche dans une île dévastée par la guerre, la sécheresse, les fièvres . « Vers le sud, la mer à gauche ; vers le nord la mer à droite » Avec Orosei pour cap. La découverte des paysages s’inscrit dans ma démarche touristique. Peu de rencontres dans ce maquis désolé, un vieil aveugle « Tiresias en personne », un prêtre qui lui donne l’hospitalité dans sa chapelle perdue. Prêtre chasseur, prêtre sans paroissiens malades de la malaria…dont le meilleur ami est un chien qui va mourir. Quand Vincenzo parvient à Nuoro, il trouve son grand père et sa tante seuls survivants d’une famille autrefois prospère et nombreuse. Ils trouvent une nouvelle raison de vivre dans ce jeune homme de leur sang. Et un ami de hasard Mimmiu.
La paix revenue, Vicenzo s’installe dans Nuoro. On assiste à la modernisation du bourg rural qui devient une ville. Vicenzo et son ami se portent volontaire dans la lutte contre les sauterelles puis contre les moustiques, vecteurs de la malaria. Le fascisme est liquidé mais pas oublié… luttes politiques, communistes, monarchistes.
Vincenzo tombe amoureux, amour véritable, partagé, qui reste stérile. Et cela se gâte.
La dernière partie 1972 1978 n’est plus racontée par Vincenzo mais par son fils Christian, né après la mort de son père.
Autant, j’ai aimé le début du livre qui raconte Nuoro. Autant je n’ai pas accroché à la saga quand les fausses couches de Cecilia sont vécues comme une malédiction qui vont détruire le couple idéal…..
Je suis aussi en train de lire un polar en italien… j’ai la version française pour m’aider quand je rame, car mon niveau est loin d’être bon, mais quel plaisir de lire dans la langue d’origine!
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En VO c’est un plus, un auteur que j’ai lu à un moment et que j’avais aimé
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Parce qu’en plus tu lis en italien! Tu peux être fière!
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@claudialucia : c’est une lecture un peu rapide lu sur place je baignais dans l’Italien.
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…Hier j’ai commence a lire: « Luni de fiere »(Ro) = « Lunes de fiel », par Pascal Bruckner…
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