Aifelle m’a donné envie de le lire.
J’ai eu envie de me perdre sur cette route de Beit Zera dont le nom me parlait,: un kibboutz près du Lac de Tibériade. Je n’ai retrouvé ni le Kibboutz ni le Lac. Aucun de mes souvenirs n’a pu se rapprocher de l’atmosphère du livre. La forêt épaisse et mystérieuse avec ses cachettes et les pins elle-t-elle dans les parages?
Cependant, je n’ai pas regretté cette lecture. C’est une merveille de finesse et de délicatesse. Comment en rendre compte sans dévoiler son secret, sans en raconter l’intrigue et spoiler?
Un homme solitaire et plutôt silencieux, une chienne, un fils aux antipodes, un garçon arabe taiseux, un ami de longue date avec qui il partage des cuites et des souvenirs de jeunesse….
Une maison en bord de forêt, loin de toute agitation. un secret.
C’est une écriture sensible, délicate.
Je suis contente qu’il t’ait plu, même si tu n’y as pas retrouvé les lieux que tu connais. C’est le troisième roman que je lis de l’auteur et je suis épatée à chaque fois par la manière dont il aborde des problèmes difficiles, sans appuyer, avec beaucoup d’humanité.
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Mingarelli en général c’est intéressant, j’ai déjà noté celui là chez Aifelle j’attends de mettre la main dessus
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Un très beau roman, que j’ai trouvé pudique et sensible, il m’a beaucoup plu!
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