Burano île de la dentelle

Cinq jours à Venise

Navette vers Burano : 5 minutes, toutes les demi-heures.

Derrière le débarcadère se trouve un parc ombragé avec de l’herbe. A Venise la verdure prend de l’importance. Le village est très coloré. Les maisons des pêcheurs mitoyennes sont peintes de teintes  très vives. Des fenêtres vertes bordées de blanc ressortent sur les façades fuchsia, bleu vif, rouge sang, ocre, oranges ou vertes. Parfois la façade est percée de deux fenêtres, parfois une seule, rarement plus. Les draps sèchent joyeusement, ajoutant une touche de couleur  ou au contraire en harmonie, jaune sur jaune, rose sur rose…Devant la porte, un rideau masque l’ouverture, une trigle le maintient à bonne distance laissant ainsi l’air entrer dans la maison.. Si Burano est l’île des dentellières c’est aussi celle des pêcheurs. Dans le guide Evasion, j’ai lu que les femmes des pêcheurs peignaient les façades pour que les pêcheurs reconnaissent leur maison de loin. Ceci est probablement une légende parce que les maisons bordant le canal sont perpendiculaires à la lagune. Des boutiques proposent de très jolies dentelles et autres articles de table mais aussi des corsages arachnéens, des jupons…ravissants et sûrement très chers. Nous prolongeons la promenade jusqu’à l’autre bout de l’île, revenons par la place centrale ornée de la statue de Baldassar Galuppi, compositeur 1706-1785.

Dernière curiosité : le campanile penché de San Martino.

Auteur : Miriam Panigel

professeur, voyageuse, blogueuse, et bien sûr grande lectrice

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