LITTERATURE ISRAELIENNE
« J’ai assisté à une conférence à l’étranger » as-tu dit. Elle était donné par un homme qui affirmait fièrement que nous étions les héritiers, les descendants des prophètes. Il fallait corriger immédiatement son propos : non nous ne sommes pas les descendants des prophètes car la plupart d’entre eux n’ont pas eu de descendance. mais nous sommes les héritiers de ceux qui leur ont jeté des pierres pour qu’ils se taisent. »
Dès que j’ai appris la parution de ce livre posthume, je me suis précipitée à le télécharger. Ce court ouvrage (96 pages) est le texte d’une conférence donnée à Berlin. Amos Oz parle de son livre Judas, de la figure du traître qu’on lui renvoie. j’ai beaucoup aimé ce livre, lu à sa parution, chroniqué
En revanche, j’ai découvert Delphine Horvilleur qui a préfacé l’ouvrage sous forme d’une lettre ouverte à Amos Oz très touchante dans laquelle je me suis retrouvée.
Je ne raffole pas des comptes-rendus de conférences, mais à l’occasion, pourquoi pas.
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@Aifelle cela dépend si tu as lu le livre Judas. Si oui c est redondant . Sinon c est un aperçu
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Tu ne connais pas Delphine Horvilleur? Assez médiatique (ce n’est pas un reproche), et elle vient de faire paraitre un bouquin qui me tente. Vivre avec nos morts, petit traité de consolation.
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@keisha si je la connais mais j ai trouvé sa préface sous forme de lettre à Amos Oz très touchante
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Je viens de voir que son livre sera à la bibli!
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j’ai fait comme toi je me suis précipitée et je dois dire que je n’ai pas regretté : je me suis bien amusée dans un premier temps et je trouve que cela complète parfaitement son roman
Delphine Horvilleur c’est quelqu’un que j’admire vraiment et dont j’aime les écrits
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