
Nouvelle écrite en 1953 à la demande du Reader Digest, traduite en de nombreuses langues. « C’est un des textes dont je suis le plus fier » affirme l’auteur .« Alors offrons ce texte de révolutionnaire à tous nos amis, poussons-les eux aussi à changer le monde pour que nos petits gestes en apparence inutiles s’accumulent. »Des décennies avant La part du colibri de Rabhi, Jean Giono présente un homme exemplaire, un berger solitaire, dans une Provence quasi-désertique qui se donne la mission de semer des glands. Deux Guerres mondiales plus tard, des forêts verdoyantes ont modifié le paysage, jusqu’au climat et à l’hydrographie. « Il avait jugé que ce pays mourait par manque d’arbres. il ajouta que, n’ayant pas d’occupations très importantes, il avait résolu de remédier à cet état de chose »Je savais que cette nouvelle était une fiction, et j’ai voulu y croire. peut-être que j’y crois très fort.
Oui c’est un texte très simple, très beau, presque évident.
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Lu il y a longtemps et encore plus d’actualité aujourd’hui ..
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Jamais lu, mais si c’est court et d’actualité, pourquoi pas?
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@keisha : très courtet très d actualité
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vu en adaptation au théâtre à Avignon cet été et j’ai trouvé ça très actuel en effet!
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un petit livre magnifique et enchanteur auquel on veut croire en effet, je l’ai lu et relu et il est paru aussi en livre audio
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