MASSE CRITIQUE DE BABELIO
Merci à Babélio et aux éditions Le Lamantin de m’avoir offert un voyage littéraire à Chypre avec ce roman policier!
Lecture facile, les pages se tournent toutes seules ( beaucoup de dialogues). Un galeriste est retrouvé assassiné dans la Green line, la zone de démarcation entre la zone grecque et la zone turque. Chypriote, résident à Paris, sa famille est originaire de la partie nord de l’île (actuellement turque). la piste du trafic d’antiquités nous fait emmène dans les monastères à la recherche d’objets liturgiques, d’icônes, de manuscrits…
Plus de quarante ans ont passé depuis la partition de l’île en 1974 et les blessures restent ouvertes, ce que souligne le titre L’île déchirée cependant je suis un peu frustrée de rester sur ce constat simple. J’aurais aimé un peu plus sur les tentatives de réconciliations, de dialogues, aussi plus de détails sur la vie quotidienne (en dehors des considérations sur la chaleur qui règne l’été sur l’île, moi j’aime bien la chaleur).
Une lecture distrayante, sans plus.
Tu n’es pas assez emballée pour que je le note ; je me rends compte que je n’ai jamais lu sur Chypre, il faudrait que je trouve plus passionnant.
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@Aifelle : Citrons Acides de Lawrence Durrell date des années 50 mais INCONTOURNABLE pour chyupre!
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Je ne suis pas d’accord avec vous. L’île déchirée a été, pour moi, une passionnante motivation pour m’intéresser à cette île déchirée mais surtout oubliée dont on ne parle pratiquement plus. Or, Aude Lafait, par le biais d’une enquête policière, écrite avec talent, met le doigt sur un problème résolu, apparemment, en séparant deux communautés. Depuis 1974, ça marche mais j’espère qu’un jour… les Chypriotes seront à nouveau réunis car, pour l’instant le nord est sous perfusion de la Turquie.
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