Exposition temporaire jusqu’au 16 Février 2020
1760- 1820

L’exposition s’ouvre avec les deux maîtres Reynolds(1723 – 1792) et Gainsborough (1727-1788), grands portraitistes « peintres du roi », leur rivalité se donne en spectacle. De très grands portraits en pied, des dames se tiennent devant un paysage. Ma préférée est Lady Bates Dudkey, peinte par Gainsborough peinte avec beaucoup de soin, de fluidité et de brillance avec un rendu soyeux plus flatteur que les coups de pinceaux plus mats de Reynolds.

De ce dernier j’ai plus aimé son jeune Frederick Howards dans la posture d’Apollon (selon le cartel) dans un décor d’architecture classique (antique) au costume argenté plein de plis et rubans très flatteur.

Le duel Reynolds/ Gainsborough ne se poursuit pas dans la salle suivante au titre : portraits, Images d’une société prospère : où la bonne société commande aux peintres en vogue des conversation pieces, scènes familiales ou scènes d’enfants

ou

D’autres portraitistes émergent, Zoffany, Francis Cotes, Thomas Lawrence, que je découvre ici

Aux solennels portraits en pieds on préfère ici les scènes familiales, les animaux.
la 3ème section : Aux frontières de l’Empire nous fait découvrir les colonies aux Antilles et en Indes

Peindre à l’aquarelle et Le spectacle de la Nature
mettent en valeur de nouveaux artistes que j’aime beaucoup comme Turner, et Constable que j’aime beaucoup mais aussi Cotmann que je découvre dans un tableau rès romantique de Carnavon.

Chiens, et chevaux inspirent aussi beaucoup les artistes (moi moins)
L’exposition se termine de façon fantastique avec William Blake (un de mes coups de coeur)

et de façon spectaculaires avec la destruction de Sodome par Turner et la Destruction de Pompéi et Herculanum par John Martin
