30. CAP VERT 2002

Taxi jusqu’à Porto Novo
Après Cova, nous quittons la forêt et retrouvons le désert, les cônes éruptifs, les acacias au feuillage, si léger qu’on ne les voit que quand le Hiace s’approche. Travail titanesque de terrassement pour une végétation invisible !
Nous sommes en avance au bateau
Au bateau : pas de touristes, déménagement des miséreux : vieilles chaises, bidons en plastique, cartons scotchés, bassines plastiques… Pas de vent, la mer est lisse et pourtant la houle fait des vagues que le bateau aborde de côté. Nous avons retrouvé la meilleure place à l’avant sur le pont.

Nous retrouvons nos habitudes à Che Guevara
Elisabeth nous redonne notre belle chambre avec les poutres qui soulignent la tourelle, les baies vitrées donnant sur deux orientations pour faire courant d’air, le lustre aux pendeloques de verre et la vaste salle de bain. Je vais me baigner puis nous déjeunons d’une salade et d’une omelette. Nous faisons une sieste prolongée avant une nouvelle baignade bien rafraîchissante.

Promenade à la fraîche en ville
Nous nous promenons à la fraîche dans Mindelo animée seulement par les cortèges de voitures klaxonnant pour deux mariages. Le soir tombe, le port est illuminé, on tire deux fusées rouges.
Quand nous retournons à l’hôtel, tout est fermé. Les propriétaires sont invités à un mariage. Pas de dîner, nous nous contentons de yaourts.