Le Caire : déjeuner au bord du Nil – Andréa

PREMIER VOYAGE EN EGYPTE 2002

Andrea sur les bords du Nil

 

 Enfin ! Le Nil !

bâtiments administratifs, puis  hôpitaux, la faculté de médecine où la médaille d’or de Papa doit encore se trouver. Après l’aqueduc de Saladin, les maisons sont misérables, nous avons l’impression de quitter la ville, les berges du Nil sont envahies de roseaux. Une felouque passe avec sa voile.

Andréa

Andréa est une guinguette, il y a même une estrade pour un orchestre, le soir. A midi, elle est presque vide.
Nous passons devant des flamants roses, gris, leurs longues pattes roses et fines soutiennent un corps très léger et un cou immense, quand ils l’étirent ils sont très hauts.
La table est couverte de mézés : aubergines en purée ou miniatures dans de la saumure, choux, salade de pommes de terre, tehina, haricots, fallafels croustillants verts de persil …les pitas sont fines comme des crêpes, toutes petites, incrustées de sésame.
Zeinab disparaît pendant un long quart d’heure, nous n’osons pas commencer sans elle.
On nous apporte une assiette avec un demi poulet grillé, un peu sec, du riz délicieux avec une sorte de sauce bolognaise. Pour dessert : une orange. Café turc pour moi, pour D du thé à la menthe.
Des pêcheurs en barque passent et repassent. Un bac emporte des passagers et des marchandises sur la rive opposée où il y des serres.  L’endroit est très paisible, presque champêtre, malgré des immeubles affreux de l’autre côté de la route.

Auteur : Miriam Panigel

professeur, voyageuse, blogueuse, et bien sûr grande lectrice

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